Tête-à-tête avec les candidats : 15 questions à Olivier Fecteau (QS)
POLITIQUE. Le journal a proposé 15 questions aux candidats des principaux partis politiques dans la circonscription électorale de Beauce-Sud. Voici les réponses du candidat de Québec Solidaire (QS), Olivier Fecteau.
1. Identifiez un trésor bien gardé dans la région de la Beauce ?
– Le podium papal à Saint-Gédéon, à côté de l’église.
2. Quel est le dernier livre ou film que vous avez lu ou regardé ?
– Le film Incendies [de Denis Villeneuve]. J’avais lu le livre dans mon cours.
3. Que faites-vous lorsque vous êtes en congé ?
– J’aime lire les développements juridiques.
4. Êtes-vous plus ville ou campagne ?
– La campagne à 100 %. C’est la richesse du Québec.
5. Quelle est votre citation ou proverbe préféré(e) ?
– Ce n’est pas fini, tant que ce n’est pas fini.
6. S’il fallait que vous mangiez une seule chose pendant une semaine, ce serait quoi ?
– De la poutine. La régulière.
7. Lorsque vous pensez à la Beauce, quelle image vous vient en tête ?
– Une race de travailleurs. Du monde qui n’ont pas peur de se salir les mains. Des entrepreneurs.
8. Si vous aviez un seul mot pour vous décrire, ce serait lequel ?
– Polyvalent. Je suis capable de m’adapter. Je ne suis pas le meilleur dans rien mais je suis bon dans tout.
9. Quel est votre plus beau souvenir d’enfance ?
– La cabane à sucre familiale.
10. Quel pays avez-vous aimé le plus visiter ?
– J’ai aimé la France. L’architecture et l’histoire.
11. Si vous étiez un personnage fictif, lequel seriez-vous ?
– Tintin. Parce que j’aime les aventures.
12. Quel est votre péché mignon côté bouffe que vous ne pouvez pas dire non ?
– Du Kraft Dinner. Lorsque je veux me gâter avec des saucisses et de la salsa.
13. Quelle est la plus belle saison pour venir en Beauce et pourquoi ?
– Le printemps pour les cabanes à sucre.
14. Nommez-moi un politicien ou une politicienne d’ici ou d’ailleurs que vous admirez (outre votre chef de parti) ?
– René Lévesque [ancien premier ministre du Québec]. Je suis souverainiste. Il a été un grand homme pour le Québec.
15. De nombreux citoyens ne font plus confiance aux politiciens. Pourquoi devraient-ils vous croire pendant cette campagne ?
– Parce que je suis l’un d’entre eux. Je ne faisais plus confiance mais je me suis dit si je veux du changement il faut que je m’implique. Je ne me sentais pas écouté comme étudiant alors j’ai voulu m’impliquer.